Clairement, deux écoles s’affrontent. D’une part, les conservateurs: préparateurs physiques issus des sports de force, qui appliquent la maxime à la lettre «si tu ne fais pas de squats, tu ne fais pas de musculation». De l’autre les prudents, éveillés aux méthodes de préparation physique alternatives, et qui préfèrent limiter la part des squats (et surtout des squats complets) dans la préparation.
Seulement comme toujours, nous sommes à la merci de paradigmes, pour ne pas dire parfois de lobbies, qui prennent en otage notre libre arbitre. Ce sont comme souvent les extrêmes, par le biais de communications sensationnelles, qui développent une approche binaire du monde sportif, obligeant les gens à choisir un camp, à se ranger derrière une idéologie.
Mais comment discriminer le vrai du faux ? Entre le pseudo préparateur physique qui a érigé les squats en ennemi public numéro 1 – surtout parce qu’il n’en maîtrise pas la technique (et oui, il est plus simple de faire des flexions de jambes à la presse et au TRX et de stigmatiser les squats plutôt que de les apprendre), et les haltérophiles purs qui ne jurent que par cela (la préparation physique ne se limite certainement pas à quelques mouvements), faisons un point sur le mouvement roi qu’est le squat !
Le squat, qu’est-ce que c’est ?
Différents types de squats
Squat complet
Squat profond
Demi-squat
Squats partiels
Rappels anatomiques
Ainsi le squat comprend en lui-même un nombre important de variations : le degré de flexion doit être considéré, ce qui influencera la charge possible mais changera aussi les effets sur le développement des qualités physiques.
Nous vous recommandons la lecture de la Préparation physique moderne , d’Aurélien BROUSSAL et Olivier BOLLIET.
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