La douleur n’est pas seulement inconfortable. Elle perturbe la motricité, limite la mobilité, engendrant un cercle vicieux d’inefficience motrice qui génère de nouvelles perturbations posturales et de nouvelles douleurs chroniques.
Considérons deux états
Celui de douleur d'une part, et celui de non-douleur d'autre part.
L'état de douleur
Les muscles profonds, posturaux sont dépassés, suppléés par les plus puissants muscles moteurs.
Ces derniers sont, dès lors, moins bien coordonnés, s’appuyant sur des co-contractions de plus en plus permanentes, sclérosant le mouvement, gelant la liberté articulaire, et créant des zones de tensions permanentes au sein du muscle.