Les ultrasons diffus, aussi appelés ultrasons divergeants, sont utilisés par de nombreux dispositifs pour perdre des graisses depuis des années. D'autant plus depuis 2010, où la haute autorité de santé (HAS) en france les a reconnus comme étant sans danger.
En fait, il semble que pour tirer des bénéfices des ultrasons divergeants, il faille augmenter significativement la puissance d’émission, sans pour autant augmenter la puissance électrique transmise aux émetteurs.
Des avancées récentes ont permis de purifier l'onde émise pour la rendre efficace.
Ce qui se conçoit bien se mesure clairement
Enjeu numéro 1 : mesurer efficacement la masse grasse
3 masses sont ainsi au cœur de la mesure, ou plutôt de l’estimation :
Le déstockage
Récupérer les harmoniques de l'onde principale pour augmenter significativement la puissance d'émission sans augmenter la puissance électrique transmise aux émetteurs.
Essayons d’y voir plus clair. Les graisses sont une réserve d’énergie souvent insoupçonnée par les sportifs. 2 fois plus performantes que les sucres, elles constituent un carburant très efficace pour les muscles… mais d’emblée non préférentiel. Il nous faut alors trouver les moyens efficaces de les mobiliser pour venir épargner notre énergie rapide que sont les sucres (i.e. les glucides
Ce que permet l'onde pure, c'est de rendre immédiatement disponible pour la cellule musculaire les acides gras et le glycerol.
Déjà 8 fois plus grosses que les cellules moyennes, les adipocytes vont ainsi grossir pour atteindre jusqu'à 50 fois leur taille normale. Mais si les 20 milliards d'adipocytes, même hypertrophiés 50 fois ne parviennent plus à stocker les graisses ingérées... elles se multiplient, et ce jusqu'à 10 fois, portant leur nombre à l'astronomique chiffre de 200 milliards !
- hypertrophique : grossissement des adipocytes ;
- hyperplasique : multiplication du nombre d’adipocytes ;
- mixte : grossissement et multiplication des adipocytes.
Lors de l’effort, les femmes utilisent davantage les lipides que les hommes.
On pourrait dès lors croire à leur capacité à perdre plus facilement des graisses grâce à l’entraînement… mais c’est sans compter sur la part de consommation lipidique d’un exercice sur l’ensemble des activités de la journée et donc aussi dans la phase précoce de la récupération après un effort où elles verront leur utilisation des graisses chuter drastiquement comparée aux hommes..
En fait, la principale raison expliquant les difficultés féminines à la perte de poids est leur métabolisme au repos. Elles ont en effet une tendance naturelle à stocker les graisses alimentaires, et à utiliser comme carburant prioritaire au repos le glucose (et non les lipides). L’importance que revêt la capacité à déstocker les graisses semble dès lors capitale.
La spécificité de l’utilisation des carburants chez la femme pousse donc à ajuster largement les stratégies nutritionnelles et d’entraînement, jusque-là inspirées principalement par des études menées chez les hommes. En consommant plus de lipides à l’entraînement, les femmes utilisent aussi moins de glucides que les hommes (environ 25%).
Il faut donc réduire l’apport glucidique chez les femmes (dose à ajuster individuellement) pour optimiser l’utilisation des graisses, et ne pas surcharger le corps en sucres. D’autre part, les femmes ont tout intérêt à s’entraîner régulièrement pour optimiser l’utilisation des graisses de leur métabolisme. L’utilisation d’une ceinture à ultrasons optimisera en outre le processus à l’entraînement, mais aussi pour toute activité quotidienne modérée.
Les clefs du destockage
Pas de formule magique !
Le déstockage des graisses n'est donc pas l'affaire d'une seule clef mais d'un trousseau dont voici les principales !
Webinaire
La Mobilité
La mobilité, de son évaluation précise à son optimisation.
89,90€Ajouter au panier
Un commentaire